Leonotis présente un port érigé et vertical, avec des tiges robustes et anguleuses, portant des fleurs en étages réguliers. Elle forme rapidement une touffe ramifiée à partir de la base. Le développement est rapide en été, particulièrement en sol chaud et bien drainé. Le feuillage est lancéolé, un peu grossier mais bien disposé le long des tiges, contribuant à l'effet graphique de la plante.

Originaire des zones chaudes et sèches d’Afrique du Sud, notamment dans la région du Cap, Leonotis leonurus pousse dans les steppes herbeuses, zones rocailleuses et prairies ouvertes. Son nom fait référence à l’aspect des fleurs laineuses et incurvées, rappelant une crinière de lion, et lui a valu le surnom d’"Oreille de lion".

La floraison est son principal atout. Elle commence souvent en juillet et se prolonge jusqu’aux premières gelées. Les inflorescences en anneaux successifs forment une sorte de candélabre floral, où s’épanouissent de fleurs tubulaires orange vif au calice laineux. Ce type de floraison, très structuré, donne une allure architecturale à la plante.

Elle attire de nombreux pollinisateurs, en particulier les abeilles, papillons et colibris dans son habitat d’origine. Sous nos latitudes, elle est également visitée par les abeilles et bourdons.

La fructification, plus discrète, produit de petites graines brunes, que l’on peut récupérer pour semis au printemps sous abri chauffé.

Leonotis leonurus aime les sols bien drainés, pauvres à modérément fertiles, et tolère les conditions sèches. Elle peut pousser dans un sol ordinaire, sableux ou caillouteux, à condition qu’il ne soit pas trop humide en hiver.

L’irrigation doit être modérée. Leonotis apprécie un sol frais au départ, mais tolère la sécheresse une fois bien enracinée. Évitez les excès d’eau en hiver, surtout en pot.

Elle est facile à cultiver, mais demande chaleur et lumière pour s’épanouir. En climat doux, elle peut rester en pleine terre, protégée du froid. Ailleurs, on la cultive souvent comme plante annuelle ou en pot pour pouvoir l’hiverner à l’abri du gel.

Un taillage léger en fin d’hiver ou après floraison stimule la ramification. Dans les régions à hiver froid, il est conseillé de pailler le pied ou de rentrez la plante sous serre froide.

Leonotis leonurus est idéale pour :

• les massifs ensoleillés,

• les jardins secs ou exotiques,

• les compositions d’été hautes,

• les terrasses ensoleillées (en pot),

• ou comme plante d’arrière-plan dans une scène méditerranéenne.

Elle s’associe bien avec des graminées, des sauges, des hélianthus, ou des arbustes à floraison estivale comme les buddleias ou les caryoptéris.

En pot, elle offre un très bel effet vertical et lumineux. Elle peut aussi être utilisée dans les jardins de papillons, tant son nectar est apprécié.

Elle présente aussi un intérêt médicinal traditionnel dans son pays d’origine (infusions, décoctions), bien que ces usages soient à réserver à un cadre botanique ou ethnobotanique et non médicinal sans encadrement professionnel.

Leonotis présente un port érigé et vertical, avec des tiges robustes et anguleuses, portant des fleurs en étages réguliers. Elle forme rapidement une touffe ramifiée à partir de la base. Le développement est rapide en été, particulièrement en sol chaud et bien drainé. Le feuillage est lancéolé, un peu grossier mais bien disposé le long des tiges, contribuant à l'effet graphique de la plante.

Originaire des zones chaudes et sèches d’Afrique du Sud, notamment dans la région du Cap, Leonotis leonurus pousse dans les steppes herbeuses, zones rocailleuses et prairies ouvertes. Son nom fait référence à l’aspect des fleurs laineuses et incurvées, rappelant une crinière de lion, et lui a valu le surnom d’"Oreille de lion".

La floraison est son principal atout. Elle commence souvent en juillet et se prolonge jusqu’aux premières gelées. Les inflorescences en anneaux successifs forment une sorte de candélabre floral, où s’épanouissent de fleurs tubulaires orange vif au calice laineux. Ce type de floraison, très structuré, donne une allure architecturale à la plante.

Elle attire de nombreux pollinisateurs, en particulier les abeilles, papillons et colibris dans son habitat d’origine. Sous nos latitudes, elle est également visitée par les abeilles et bourdons.

La fructification, plus discrète, produit de petites graines brunes, que l’on peut récupérer pour semis au printemps sous abri chauffé.

Leonotis leonurus aime les sols bien drainés, pauvres à modérément fertiles, et tolère les conditions sèches. Elle peut pousser dans un sol ordinaire, sableux ou caillouteux, à condition qu’il ne soit pas trop humide en hiver.

L’irrigation doit être modérée. Leonotis apprécie un sol frais au départ, mais tolère la sécheresse une fois bien enracinée. Évitez les excès d’eau en hiver, surtout en pot.

Elle est facile à cultiver, mais demande chaleur et lumière pour s’épanouir. En climat doux, elle peut rester en pleine terre, protégée du froid. Ailleurs, on la cultive souvent comme plante annuelle ou en pot pour pouvoir l’hiverner à l’abri du gel.

Un taillage léger en fin d’hiver ou après floraison stimule la ramification. Dans les régions à hiver froid, il est conseillé de pailler le pied ou de rentrez la plante sous serre froide.

Leonotis leonurus est idéale pour :

• les massifs ensoleillés,

• les jardins secs ou exotiques,

• les compositions d’été hautes,

• les terrasses ensoleillées (en pot),

• ou comme plante d’arrière-plan dans une scène méditerranéenne.

Elle s’associe bien avec des graminées, des sauges, des hélianthus, ou des arbustes à floraison estivale comme les buddleias ou les caryoptéris.

En pot, elle offre un très bel effet vertical et lumineux. Elle peut aussi être utilisée dans les jardins de papillons, tant son nectar est apprécié.

Elle présente aussi un intérêt médicinal traditionnel dans son pays d’origine (infusions, décoctions), bien que ces usages soient à réserver à un cadre botanique ou ethnobotanique et non médicinal sans encadrement professionnel.

Elle s’étale sur 80 cm à 1 m de large, formant une touffe érigée et légèrement buissonnante.

Leonotis leonurus atteint généralement entre 1,2 m et 2 m de hauteur, avec un port dressé bien structuré. En conditions favorables, elle peut dépasser 2,5 m.

La floraison spectaculaire s’étend de juillet à novembre, avec des fleurs orange vif disposées en verticilles étagés autour des tiges, évoquant la forme d’un pompon hérissé.

La fructification est possible mais discrète sous nos climats. Les graines peuvent être récupérées pour le semis, mais la plante est généralement multipliée par bouturage.

Le feuillage est semi-persistant à caduc selon les températures. Les feuilles sont lancéolées, vert moyen, parfois légèrement duveteuses, et très aromatiques lorsqu’on les froisse.

Leonotis leonurus est faiblement rustique. Elle supporte jusqu’à -3 °C à -5 °C, mais ne survit pas à un gel prolongé. En climat frais, elle doit être cultivée en pot à rentrer l’hiver ou protégée par un paillage épais.