Originaire des régions côtières du sud de l’Europe, d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, le myrte pousse naturellement dans la garrigue et les maquis méditerranéens. On le trouve souvent sur les sols secs, calcaires et ensoleillés, ce qui explique sa tolérance à la chaleur, au vent sec et à la sécheresse estivale.

La floraison du myrte commun est un de ses atouts majeurs. En été, les fleurs blanches s’épanouissent en masse, libérant un parfum suave et puissant. Chaque fleur, composée de cinq pétales fins et de nombreuses étamines dorées, attire les pollinisateurs et embaume les abords du jardin.

Les baies noires du myrte, qui apparaissent en automne, sont comestibles crues ou cuites. On les utilise notamment en infusion, en confiture, ou pour préparer la liqueur de myrte très répandue en Corse et en Sardaigne (le "mirto"). Les feuilles sont également employées pour aromatiser les viandes (rôtis, gibiers) et les plats mijotés, notamment dans la cuisine insulaire.

Le myrte commun pousse lentement, ce qui en fait un bon candidat pour des usages topiaires ou en haie taillée. Son entretien est facile :

• Taille légère après la floraison pour conserver une forme arrondie ou structurée.

• Arrosage modéré en sol bien drainé ; évitez les excès d’eau, surtout en hiver.

• Paillage d’hiver conseillé en régions froides.

• Fertilisation modeste au printemps (compost ou engrais organique).

Le myrte commun est très apprécié dans les jardins méditerranéens et jardins secs pour sa résistance naturelle à la chaleur et son port esthétique. Il peut être utilisé de multiples façons :

• En haie basse ou moyenne, taillée ou libre.

• En isolé, pour mettre en valeur son port et sa floraison.

• En bac ou pot pour les terrasses et balcons, notamment dans les régions plus froides.

• En bordure de massifs, en association avec des lavandes, romarins, santolines, cistes, ou graminées.

• Dans des jardins aromatiques, méditerranéens, ou de senteurs.

Originaire des régions côtières du sud de l’Europe, d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, le myrte pousse naturellement dans la garrigue et les maquis méditerranéens. On le trouve souvent sur les sols secs, calcaires et ensoleillés, ce qui explique sa tolérance à la chaleur, au vent sec et à la sécheresse estivale.

La floraison du myrte commun est un de ses atouts majeurs. En été, les fleurs blanches s’épanouissent en masse, libérant un parfum suave et puissant. Chaque fleur, composée de cinq pétales fins et de nombreuses étamines dorées, attire les pollinisateurs et embaume les abords du jardin.

Les baies noires du myrte, qui apparaissent en automne, sont comestibles crues ou cuites. On les utilise notamment en infusion, en confiture, ou pour préparer la liqueur de myrte très répandue en Corse et en Sardaigne (le "mirto"). Les feuilles sont également employées pour aromatiser les viandes (rôtis, gibiers) et les plats mijotés, notamment dans la cuisine insulaire.

Le myrte commun pousse lentement, ce qui en fait un bon candidat pour des usages topiaires ou en haie taillée. Son entretien est facile :

• Taille légère après la floraison pour conserver une forme arrondie ou structurée.

• Arrosage modéré en sol bien drainé ; évitez les excès d’eau, surtout en hiver.

• Paillage d’hiver conseillé en régions froides.

• Fertilisation modeste au printemps (compost ou engrais organique).

Le myrte commun est très apprécié dans les jardins méditerranéens et jardins secs pour sa résistance naturelle à la chaleur et son port esthétique. Il peut être utilisé de multiples façons :

• En haie basse ou moyenne, taillée ou libre.

• En isolé, pour mettre en valeur son port et sa floraison.

• En bac ou pot pour les terrasses et balcons, notamment dans les régions plus froides.

• En bordure de massifs, en association avec des lavandes, romarins, santolines, cistes, ou graminées.

• Dans des jardins aromatiques, méditerranéens, ou de senteurs.

Cette plante développe un port dense et arrondi, avec une largeur équivalente à sa hauteur, soit 1,50 à 2,50 m à maturité. Grâce à sa croissance régulière, il forme un buisson touffu très décoratif, idéal pour les haies libres ou taillées.

Le Myrtus communis atteint généralement une hauteur de 1,50 m à 3 m, voire plus dans des conditions optimales. En climat doux et en sol fertile, il peut parfois dépasser 3,50 m, mais reste compact sous la plupart de nos latitudes. Il peut également être taillé pour rester bas et buissonnant.

Le myrte commun fleurit généralement de juin à août, parfois jusqu’en septembre. Ses fleurs étoilées blanches, solitaires ou réunies par deux, apparaissent à l’aisselle des feuilles. Elles sont très parfumées, délicates et richement nectarifères, attirant abeilles et papillons.

La floraison est suivie, à l’automne, de la formation de petites baies bleu-noir ou pourpre foncé. Ces fruits, comestibles mais astringents, sont utilisés en liqueurs (comme le célèbre "mirto" en Sardaigne) ou en cuisine méditerranéenne. Ils persistent parfois longtemps sur l’arbuste si les oiseaux ne les consomment pas avant.

Le feuillage est persistant, dense et décoratif toute l’année. Les feuilles coriaces, luisantes, vert foncé, sont opposées et mesurent environ 2 à 4 cm de long. Lorsqu'on les froisse, elles dégagent un parfum aromatique très agréable, rappelant l’eucalyptus et les herbes méditerranéennes.

Le Myrtus communis est rustique jusqu’à -10°C, voire -12°C en sol bien drainé et en situation abritée. En climat froid ou en zone de gel prononcé, il est préférable de le cultiver en pot à hiverner, ou de le planter contre un mur exposé au sud.