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La bignone 'Madame Galen', également connue sous son nom botanique Campsis × tagliabuana 'Madame Galen', est une plante grimpante spectaculaire qui enchante les jardins avec sa floraison estivale flamboyante et son port vigoureux. Résultant d’un croisement entre Campsis grandiflora et Campsis radicans, cette variété hybride combine la robustesse de la première et la générosité florale de la seconde. Elle est particulièrement recherchée pour ses grandes trompettes orangées à rouge cuivré, très ornementales, qui attirent le regard tout l’été. Véritable reine des pergolas, treillages et façades, elle apporte une touche exotique et chaleureuse aux extérieurs. Grâce à sa croissance rapide, elle est aussi idéale pour habiller rapidement un mur ou créer un écran végétal dense. Sa capacité à s'accrocher seule grâce à ses racines crampons facilite son installation dans de nombreux contextes.
La bignone ‘Madame Galen’ peut atteindre une hauteur de 6 à 10 mètres, selon les conditions de culture et le support disponible. Elle grimpe rapidement grâce à ses racines crampons.
Sa largeur varie de 3 à 5 mètres, formant une végétation dense et exubérante si elle n’est pas taillée régulièrement.
La floraison s’étend de juillet à septembre. Elle est très abondante, avec de grandes fleurs en trompette, d’un orange saumoné à rouge cuivré, regroupées en grappes terminales très décoratives.
Après la floraison, de longes gousses vertes peuvent apparaître en octobre, ressemblant à des haricots plats, mais leur intérêt ornemental est limité. Elles peuvent être laissées ou supprimées selon l’effet souhaité.
Caduc. Les feuilles sont composées, opposées, très découpées, d’un vert moyen. Elles forment un écran efficace en saison, puis tombent à l’automne.
Bonne rusticité jusqu’à -15 °C. Elle s’acclimate très bien dans de nombreuses régions françaises, sauf peut-être en montagne où des protections hivernales sont à envisager.
Le port de la Campsis 'Madame Galen' est vigoureux, grimpant et étalé, formant de longues tiges ligneuses capables d’atteindre entre 6 à 10 mètres de long à maturité. La plante grimpe seule grâce à des racines aériennes semblables à des crampons, qui lui permettent de s’agripper solidement à un support vertical. À défaut de support, elle peut s’étaler de manière plus anarchique, voire devenir un grand arbuste touffu si elle est taillée régulièrement. La ramure est dense, et les jeunes rameaux sont souples avant de se lignifier avec l’âge. Le feuillage, caduc, se compose de feuilles opposées, longues et pennées, généralement constituées de 7 à 11 folioles dentelées d’un vert franc. À l’automne, elles prennent une teinte jaunâtre avant de tomber. L’ensemble confère à la plante une présence généreuse et luxuriante, idéale pour créer un effet jungle ou bohème au jardin.
La bignone 'Madame Galen' est une création horticole datant du 19ᵉ siècle, née du croisement entre deux espèces d’origine américaine et asiatique. Campsis radicans est originaire du sud-est des États-Unis, tandis que Campsis grandiflora provient principalement de Chine et du Japon. Ce mariage réussi a donné une plante hybride à la fois résistante et florifère, capable de s'adapter à des climats plus tempérés, tout en conservant une floraison généreuse inspirée des contrées chaudes. C’est en Europe, notamment en France et en Italie, que cette variété s’est popularisée, notamment pour l’ornementation des façades méridionales et les jardins d’inspiration méditerranéenne. Elle est aujourd’hui largement cultivée dans les zones aux hivers doux, mais s’acclimate également très bien ailleurs avec un minimum de protection.
La floraison de la bignone 'Madame Galen' est impressionnante, à la fois par la taille, la couleur et l’abondance de ses fleurs. De juillet à septembre, parfois jusqu’en octobre, la plante se couvre de grappes de grandes fleurs en forme de trompette, mesurant jusqu’à 6 à 10 cm de long. Leur coloration va du rouge cuivré à l’orange saumoné, avec un cœur plus clair, parfois jaune ou doré, qui agit comme un véritable phare pour les pollinisateurs. Ce contraste vibrant attire notamment les abeilles, les bourdons et même les colibris dans certaines régions.
Les fleurs s’épanouissent progressivement en panicules terminales, ce qui permet une floraison prolongée. La fructification, quant à elle, reste secondaire et décorative : elle se manifeste par la production de gousses vertes allongées, un peu rigides, qui brunissent et s’ouvrent en séchant pour libérer de petites graines ailées. Toutefois, cette variété étant hybride, la fécondité est souvent faible et les fruits rares. La floraison est d’autant plus généreuse que la plante est bien exposée au soleil et installée dans un sol drainé.
La bignone 'Madame Galen' est robuste, facile à cultiver et peu exigeante, à condition de lui offrir un support adéquat et un emplacement ensoleillé. Elle s’adapte à une grande variété de sols, même pauvres ou calcaires, tant qu’ils restent bien drainés. Elle supporte également des périodes de sécheresse modérée, une fois bien enracinée, mais apprécie un arrosage régulier en période de forte chaleur.
La plantation se fait idéalement au printemps ou en automne, dans une zone protégée des vents froids. Une taille annuelle en fin d’hiver est recommandée pour stimuler la floraison et maîtriser sa vigueur. Cette taille peut être sévère : la bignone fleurit en effet sur les rameaux de l’année, et une bonne coupe favorise l’émergence de jeunes pousses florifères. Il est également conseillé de supprimer les rejets issus de la souche, qui peuvent épuiser la plante.
Côté rusticité, 'Madame Galen' tolère des températures jusqu’à -15°C, parfois un peu moins si le pied est paillé. Dans les régions plus froides, une protection hivernale du pied et une plantation contre un mur exposé au sud peuvent faire la différence.
La bignone 'Madame Galen' s’impose comme une plante d’exception pour les structures verticales. Son usage le plus courant est la végétalisation de murs, façades, treillages, tonnelles, pergolas ou clôtures. Grâce à son port grimpant autonome, elle peut couvrir rapidement des surfaces importantes, créant un écran végétal dense et décoratif.
Dans les jardins de ville, elle peut être utilisée pour ombrager une terrasse, habiller une clôture disgracieuse ou encore cacher un vis-à-vis. Dans un jardin méditerranéen, elle s’accorde à merveille avec les lauriers-roses, les oliviers ou les lavandes, pour une ambiance chaude et colorée. Elle est également idéale en pot contre un mur si le contenant est suffisamment grand, bien drainé, et si la plante est taillée régulièrement pour contenir sa croissance.
Son principal atout reste sa floraison spectaculaire qui anime le jardin en plein été, période où beaucoup de plantes marquent le pas. Son caractère autonome, sa vigueur, et sa tolérance aux maladies en font une plante de choix pour les jardiniers débutants comme expérimentés.
Le port de la Campsis 'Madame Galen' est vigoureux, grimpant et étalé, formant de longues tiges ligneuses capables d’atteindre entre 6 à 10 mètres de long à maturité. La plante grimpe seule grâce à des racines aériennes semblables à des crampons, qui lui permettent de s’agripper solidement à un support vertical. À défaut de support, elle peut s’étaler de manière plus anarchique, voire devenir un grand arbuste touffu si elle est taillée régulièrement. La ramure est dense, et les jeunes rameaux sont souples avant de se lignifier avec l’âge. Le feuillage, caduc, se compose de feuilles opposées, longues et pennées, généralement constituées de 7 à 11 folioles dentelées d’un vert franc. À l’automne, elles prennent une teinte jaunâtre avant de tomber. L’ensemble confère à la plante une présence généreuse et luxuriante, idéale pour créer un effet jungle ou bohème au jardin.
La bignone 'Madame Galen' est une création horticole datant du 19ᵉ siècle, née du croisement entre deux espèces d’origine américaine et asiatique. Campsis radicans est originaire du sud-est des États-Unis, tandis que Campsis grandiflora provient principalement de Chine et du Japon. Ce mariage réussi a donné une plante hybride à la fois résistante et florifère, capable de s'adapter à des climats plus tempérés, tout en conservant une floraison généreuse inspirée des contrées chaudes. C’est en Europe, notamment en France et en Italie, que cette variété s’est popularisée, notamment pour l’ornementation des façades méridionales et les jardins d’inspiration méditerranéenne. Elle est aujourd’hui largement cultivée dans les zones aux hivers doux, mais s’acclimate également très bien ailleurs avec un minimum de protection.
La floraison de la bignone 'Madame Galen' est impressionnante, à la fois par la taille, la couleur et l’abondance de ses fleurs. De juillet à septembre, parfois jusqu’en octobre, la plante se couvre de grappes de grandes fleurs en forme de trompette, mesurant jusqu’à 6 à 10 cm de long. Leur coloration va du rouge cuivré à l’orange saumoné, avec un cœur plus clair, parfois jaune ou doré, qui agit comme un véritable phare pour les pollinisateurs. Ce contraste vibrant attire notamment les abeilles, les bourdons et même les colibris dans certaines régions.
Les fleurs s’épanouissent progressivement en panicules terminales, ce qui permet une floraison prolongée. La fructification, quant à elle, reste secondaire et décorative : elle se manifeste par la production de gousses vertes allongées, un peu rigides, qui brunissent et s’ouvrent en séchant pour libérer de petites graines ailées. Toutefois, cette variété étant hybride, la fécondité est souvent faible et les fruits rares. La floraison est d’autant plus généreuse que la plante est bien exposée au soleil et installée dans un sol drainé.
La bignone 'Madame Galen' est robuste, facile à cultiver et peu exigeante, à condition de lui offrir un support adéquat et un emplacement ensoleillé. Elle s’adapte à une grande variété de sols, même pauvres ou calcaires, tant qu’ils restent bien drainés. Elle supporte également des périodes de sécheresse modérée, une fois bien enracinée, mais apprécie un arrosage régulier en période de forte chaleur.
La plantation se fait idéalement au printemps ou en automne, dans une zone protégée des vents froids. Une taille annuelle en fin d’hiver est recommandée pour stimuler la floraison et maîtriser sa vigueur. Cette taille peut être sévère : la bignone fleurit en effet sur les rameaux de l’année, et une bonne coupe favorise l’émergence de jeunes pousses florifères. Il est également conseillé de supprimer les rejets issus de la souche, qui peuvent épuiser la plante.
Côté rusticité, 'Madame Galen' tolère des températures jusqu’à -15°C, parfois un peu moins si le pied est paillé. Dans les régions plus froides, une protection hivernale du pied et une plantation contre un mur exposé au sud peuvent faire la différence.
La bignone 'Madame Galen' s’impose comme une plante d’exception pour les structures verticales. Son usage le plus courant est la végétalisation de murs, façades, treillages, tonnelles, pergolas ou clôtures. Grâce à son port grimpant autonome, elle peut couvrir rapidement des surfaces importantes, créant un écran végétal dense et décoratif.
Dans les jardins de ville, elle peut être utilisée pour ombrager une terrasse, habiller une clôture disgracieuse ou encore cacher un vis-à-vis. Dans un jardin méditerranéen, elle s’accorde à merveille avec les lauriers-roses, les oliviers ou les lavandes, pour une ambiance chaude et colorée. Elle est également idéale en pot contre un mur si le contenant est suffisamment grand, bien drainé, et si la plante est taillée régulièrement pour contenir sa croissance.
Son principal atout reste sa floraison spectaculaire qui anime le jardin en plein été, période où beaucoup de plantes marquent le pas. Son caractère autonome, sa vigueur, et sa tolérance aux maladies en font une plante de choix pour les jardiniers débutants comme expérimentés.
Sa largeur varie de 3 à 5 mètres, formant une végétation dense et exubérante si elle n’est pas taillée régulièrement.
La bignone ‘Madame Galen’ peut atteindre une hauteur de 6 à 10 mètres, selon les conditions de culture et le support disponible. Elle grimpe rapidement grâce à ses racines crampons.
La floraison s’étend de juillet à septembre. Elle est très abondante, avec de grandes fleurs en trompette, d’un orange saumoné à rouge cuivré, regroupées en grappes terminales très décoratives.
Après la floraison, de longes gousses vertes peuvent apparaître en octobre, ressemblant à des haricots plats, mais leur intérêt ornemental est limité. Elles peuvent être laissées ou supprimées selon l’effet souhaité.
Caduc. Les feuilles sont composées, opposées, très découpées, d’un vert moyen. Elles forment un écran efficace en saison, puis tombent à l’automne.
Bonne rusticité jusqu’à -15 °C. Elle s’acclimate très bien dans de nombreuses régions françaises, sauf peut-être en montagne où des protections hivernales sont à envisager.